Toutefois, avec la propagation des réseaux sociaux, la participation des citoyens est de plus en plus présente. Je pense qu’il s’agit de ce qui caractérise le plus l'époque dans laquelle nous vivons. Pour être convaincu, nous avons qu’à compter combien de fois par jour attendons-nous les mots « Facebook », « Twitter », « YouTube », site web, blogue, forum, wiki, etc.
Comme l’a cité Véronique Marino directrice du programme Médias interactifs de l'Institut national de l'image et du son (INIS) : « Le citoyen n'est plus qu'un simple récepteur passif du contenu, il en génère lui aussi pour apporter sa voix à la conscience collective ». Elle évoque aussi le fait que « les médias traditionnels ne sont pas au centre de l'univers »
Je pense que les médias traditionnels doivent maintenant composer avec les médias sociaux qui peuvent être perçus comme de la compétition. Selon Laurent Mauriac « Plusieurs médias traditionnels ont une résistance envers les médias sociaux, et s'ils font le virage, c'est avec un couteau sur la gorge parce que leurs lecteurs le réclament ». De plus, Normand Landry, qui possède un doctorant à l'Université McGill spécialisé dans l'usage politique des nouvelles technologies par les citoyens, évoque le fait qu’« il y a maintenant des gens qui font des médias sociaux leur carrière ».
Je pense que les journalistes citoyens deviennent une nouvelle source d’information qui perdura.
Il reste maintenant à savoir qu’elle sera l’avenir pour les journalistes traditionnels?
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